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Jour 5: Ceux qui font 17h de bus

Buenos Aires, Argentine.

Jour 5: mardi 6 novembre 2018
Chris hyper concentré 😉

Réveil tranquille… Ce matin on ne se presse pas et on prend notre temps pour déguster le bon p’tit déj’ de l’auberge et travailler sur le blog. On est tellement absorbés qu’on oublie l’heure du check-out, et la gérante de l’auberge vient nous demander d’enlever nos affaires du dortoir ! Oups 🙂

 

Un passage au supermercado, à la pharmacie (Chris se sent un peu patraque) et 4 empanadas plus tard, nous voilà en route avec nos gros sacs pour la gare routière de Buenos Aires. On s’apprête à embarquer dans un bus pour les 17 prochaines heures, direction Puerto Iguazu, à l’extrême nord de la province de Misiones, qui fait une sorte de crochet entre le Paraguay et le Brésil. On avait réservé avec la compagnie ViaBariloche, mais c’est un bus Tigre-Iguazu qui se pointe sur notre quai d’embarquement ! Bon, tant qu’il va à Iguazu… 😉

Départ à 15h ! On est au 2ème étage du bus, tout devant. Avantage: beaucoup plus de place pour les pieds et les sacs, et la vue sur la route. Désavantage: le soleil tape et ça chauffe un max à travers la vitre !

Chris s’endort directement (merci pour la compagnie)… l’équivalent du neocitran acheté à la pharmacie ce matin a eu raison de lui ! Je lis, somnole, relis, resomnole…

On a préparé trop de salade de riz hier soir, dans le but d’avoir un petit pic-nic avec nous pour le souper. Vive l’odeur du thon-fromage quand on ouvre le tupperware, on se fait tous petits vis-à-vis des autres passagers ! En plus, on a oublié nos couteaux-fourchettes qui sont dans nos gros sacs en soute, et on doit donc manger la salade de riz à l’aide de la lame de notre couteau suisse… périlleux, et assez ridicule ! Tout ça pour que le personnel du bus nous serve une barquette-repas à 23h. M’enfin, on nous avait dit que si on réservait en semi-cama (« demi-lit », littéralement), le souper n’était pas inclus ! Tant mieux 🙂

Minuit, les lumières s’éteignent et c’est la nuit dans le bus… On incline notre siège au maximum, et on s’endort comme des bébés (si si, promis)… Arrivée à 9h30 le lendemain matin, Chris est en pleine forme et j’ai super bien dormi, le soleil tape à nouveau sur la vitre !

Bref, on a survécu à 17h de bus 🙂

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